Caroline Gaynes est une auteure française qui vient de publier son premier roman: Les aléas du destin. Aujourd’hui, elle se confie sur son œuvre et sur sa vision du monde littéraire.
Bonjour Caroline. Vous avez récemment publié Les Aléas du Destin aux éditions L’ivre-Book. Un ouvrage de new-romance avec une pointe de thriller. Pouvez-vous nous présenter votre livre?
« Les Aléas du destin » raconte l’histoire d’une jeune femme, Abbygaël, qui décide de reprendre sa vie en main après avoir été victime d’une agression. Elle décide d’écrire un nouveau chapitre de sa vie à New York. Un soir, elle va faire la rencontre d’un homme, Bradley. Tout les oppose, de leur mode de vie à leur sensibilité, en passant par leur rapport avec les autres…Et pourtant…
Ce livre alterne les points de vues, y compris celui du «sombre» personnage. Un code un peu éloigné des stéréotypes de la new-romance classique. Pourquoi avoir choisi ce style pour ce premier ouvrage?
J’ai voulu être originale, essayer justement de me distinguer des autres. Surtout, j’ai trouvé que se retrouver dans la peau d’un personnage plus « sombre », comme tu dis, donnait une nouvelle dimension à mon histoire. On a rarement l’occasion de passer du côté obscur, j’ai donc essayé d’innover et, par la même occasion, cela m’a permis de jouer avec les émotions des lecteurs.
Comment cette histoire et les personnages vous sont venus?
Excellente question ! Après avoir lu un roman d’Emily Blaine, des paillettes plein les yeux, je me suis mise à rêver et à vouloir créer, moi aussi, mon univers. Je me suis imaginée un début d’histoire et, avec l’aide de mes deux acolytes correctrices, je me suis lancée dans l’écriture. J’ai passé des heures à brainstormer avec elles. J’avais des millions d’idées, il fallait me canaliser ! Généralement, je réfléchis à un fil conducteur, et après, je m’installe devant l’ordinateur et j’écris.
J’ai eu l’occasion de découvrir ce récit qui m’a tout simplement captivé. Les autres lecteurs semblent tous d’accord aussi bien sur la bookosphère que sur les réseaux sociaux. Quel effet cela vous fait de voir que ce récit plait?
Sincèrement, j’ai du mal à réaliser. J’ai assez peu confiance en ce que je fais, et voir ces avis positifs, ces retours élogieux, sur quelque chose que j’ai « créé », ça me paraît irréel.
Je suis très heureuse de pouvoir partager ma passion. J’ai fait de belles rencontres avec des blogueuses. D’ailleurs, on ne parle pas assez d’elles, de vous. Quand on démarre, pour ma part du moins, je ne pensais pas que ça serait si dur de trouver des lecteurs. Les blogueuses sont des balises dans cet océan vaste qu’est la littérature. Alors merci !
Sur Facebook vous êtes déjà suivi par plus de 350 personnes. Vous y publiez également des nouvelles et des chapitres. Quel est votre rapport aux réseaux sociaux?
Si je vous dis que je charge deux fois par jour mon portable, cela répond à votre question (^^) ? Je suis une grande bavarde, et les réseaux sociaux sont de bons moyens pour se faire connaître. Si je m’écoutais, je ferais tous les jours des facebook live (lol).
Vous êtes une auteure récente sur le marché français. Quel est votre meilleur souvenir en tant que jeune auteure?
Mon meilleur souvenir, c’est lorsqu’en mai dernier, je me suis créée un compte sur Wattpad pour y publier une histoire. J’ai adoré échanger avec mes lectrices, ça a été une réelle source de motivation supplémentaire.
De nouvelles publications à venir? Une publication papier?
Je publie sur Wattpad une histoire, « Effusion des sens », ainsi qu’une petite nouvelle sur ma page auteur Facebook. Pour ce qui est publication… si tout va bien, mon second roman devrait voir le jour cette année.
Un petit mot pour vos lecteurs et futurs lecteurs?
Rejoignez-moi ! Venez discuter ! Allons prendre un mojito en terrasse pour parler lecture !!